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Née en 1969 à Paris, Juliette GORGES COPPENS vit et enseigne à Berlin. Après un bac ES au lycée Janson de Sailly à Paris, elle obtient une maîtrise de géographie physique (spécialité : palynologie) à l'Université Paris X- Nanterre puis passe le CAPES d’Histoire-Géographie. Parallèlement et depuis toujours, elle aime dessiner et bricoler, l’illustration et le collage. De 2001 à 2005, elle se forme à la technique du vitrail dans un atelier parisien. Mais, c’est avec la peinture à l’huile qu’elle trouve son moyen d’expression le plus complet. Elle s’inspire de son environnement familier mais aussi du cinéma grâce auquel elle a réalisé en 2013 une frise de 13 portraits de femmes. Depuis peu, elle utilise aussi des techniques mixtes (gouache, acrylique) pour bâtir de longs collages ou de petites sculptures.

A propos de la peinture à l’huile:

« J'ai commencé la peinture à l'huile par la technique. Je suis tombée un jour par hasard sur un manuel de recettes et de conseils pratiques, et l'aspect artisanal m'a tout de suite fasciné. J’ai peint mes premières peintures abstraites juste pour essayer mes nouvelles couleurs, sans souci de l’ensemble. Le résultat était vraiment beau, coloré et lumineux. Puis cet aspect est passé au second plan mais je continue à préparer moi-même mes liants et souvent aussi mes couleurs. En tout cas, je reste attirée par les couleurs, toutes les couleurs, pour elles-mêmes ou dans leurs accords-désaccords. J'aime naturellement les coloristes comme Van Gogh, Gauguin et Matisse, les Allemands de l’école «Die Brücke», les Ecossaises Anne Redpath et Wilhelmina Barns-Graham et aujourd’hui : Alex Katz, David Hockney ou Mickalene Thomas ».

du collage :

« C'est une technique qui me procure une grande joie. C’est comme faire un puzzle sauf que le motif se découvre au fur et à mesure. Je récupère beaucoup de papiers dont les motifs me plaisent – et pour cela nous vivons une époque formidable- ou bien je peins de grandes feuilles à la gouache et à l’acrylique que je découpe ensuite».

du vitrail :

« Il existe plus de 7000 sortes de verre coloré, ce qui donne une grande liberté dans le travail. Mais d’un autre côté, la technique est très contraignante et il faut beaucoup de rigueur et de patience pour ne pas tout casser. J'ai appris les deux techniques, celle du plomb et celle du cuivre aussi appelée Tiffany ».

Contact: juliettegorgescoppens@live.fr 

Photos : Stéphanie Loison   @stephloison

Photo couverture

 

 

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